1. |
Vague no1
01:26
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2. |
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Tout s’est engourdi, autour de moi une aquarelle
Près du paradis, un lundi de pastel
Partout sur la terre, je vois dans les nouvelles
Il n’y a plus de guerre, des pays arc-en-ciel
Trop de soleil sur ma peau ça brûle
Un super-héros en lambeaux
Trop près du soleil les yeux qui brûlent
Un super-héros
Entre le délire et la réalité
Je suis sous l’emprise d’un démon abstrait
Trop peu de lumière, où sont passé les couleurs
Entre le délire et la réalité
Trop de soleil sur ma peau ça brûle
Un super-héros en lambeauxT
rop près du soleil les yeux qui brûlent
Un super-héros
Trop de soleil sur ma peau ça brûle
Un super-héros
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3. |
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Contre-plongée, les pieds en l’air
Si loin du ciel et en même temps si près de lui
Touché au cœur, dieu n’est plus.
Qu’un souffle de trop
Épuisé d’avoir vécu
Je suis sous l’eau
À la dérive
Une lueur de trop
À la dérive
Le vide se forme, une impression
Des trous de mémoire, des souvenirs
De quels souvenirs parles-tu?
En isolement et les yeux gris
Les rêves se brisent parce qu’aujourd’hui
On abandonne
On m’abandonne
Je suis sous l’eau
À la dérive
Une lueur de trop
À la dérive
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4. |
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Le vent est beaucoup trop fort
Une vague de cèdres noirs
Des visages doux comme la mort
Devant moi, plus rien
Je suis comme si j’étais de la terre au fond de la bouche
Je trouve ça mauvais
Je frissonne et j’ai froid
Je frissonne
J’ai la forme d’un cadavre
Ma chair comme la neige fond
Je sens sur mon front des bouffées de choses profondes
Tout mon corps vacille
Est-ce le temps de l’obscur
de l’ombre obscure
Perdu dans un miroir liquide
L’itinérance de Monet
Un reflet flou me guide
À la recherche du refuge parfait
Sur ce portrait je suis seul
Tellement seul
Et j’essaie de respirer, l’air souillé par les blessures
Découvrir une trajectoire
À croire que tout ne sera plus comme avant
Je sais que tout ne sera plus comme avant
Je suis comme si j’étais de la terre au fond de la bouche
Je trouve ça mauvais
Je frissonne et j’ai froid
Je frissonne
J’ai la forme d’un cadavre
Ma chair comme la neige fond
Je sens sur mon front des bouffées de choses profondes
Tout mon corps vacille
Est-ce le temps de l’obscur
de l’ombre obscure
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5. |
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Vraie, elle est vraie la douleurqui seule se baptise
Vrai, il estvrai le néant qui se noue à mon cou
Les embruns qui recouvrentle ciel
S’évaporent lentement
J’ai sarclé mon ancienne vie
Pour trouver le salut
Au mois d’Août
Love, love, love, love, love, love me
Love, love, love, love, love, love me
La seule bonne réponse
Vraie, elle est vraie la solitude qui seule me débranche
Vrai, il est vrai le désir qui me pousse dans le noir
Les embruns qui recouvrent mon cœur
Se dissipent doucement
J’ai sarclé mon ancienne vie
Pour trouver le salut
Au mois d’Août
Love, love, love,love, love, love me
Love, love, love, love, love, love me
Love, love, love, love, love, love me
Love, love, love, love, love, love me
La seule bonne réponse
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6. |
Vague no6
02:11
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7. |
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Spaceboy Spaceboy
Comme une étoile
Spaceboy tu reviens pour toujours
Un nouveau langage grandit dans mon coeur
La vie la vie la vie
Toucher les odeurs
Entrel es orages
Plus jamais seul
Spaceboy Spaceboy
Comme une étoile
Spaceboy tu reviens pour toujours
Spaceboy Spaceboy
Comme une étoile
Spaceboy tu reviens pour toujours
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L'INDICE Montréal, Québec
L'indice est le projet de l'auteur-compositeur-réalisateur montréalais Vincent Blain.
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